Notre 1942

HIS la division de l'armée devait libérer le dernier des trois camps de concentration en Allemagne.

Charles J. Palmeri servait dans la division Rainbow des États-Unis lorsque deux sergents, qui revenaient de Dachau, lui rapportèrent ce qu'ils y avaient vu. Mais lui leur répondit : « Cela ne se peut. Personne ne ferait ça ! » Le lendemain, 29 avril 1945, sa division entra dans le camp.

La première chose que nous avons vue était une trentaine de wagons qui venaient d'être chargés de cadavres... Ensuite, nous sommes entrés dans le camp, et nous y avons découvert des corps entassés, des corps nus — des hommes et des femmes et même des enfants... Ce qui me dérangeait plus que les morts — et les morts me gênaient beaucoup, évidemment — étaient les gens qui étaient encore en vie, errant et traumatisés... Ils pouvaient à peine marcher, et leurs jambes étaient plus fines que des rails. -Columbia magazine, mai 2020, p. 27

Trois ans plus tôt, un juif étranger connu sous le nom de Moishe le Beadle, a reçu l'ordre de quitter sa ville de Sighet. Arrondis par la police hongroise dans des wagons à bestiaux, ils ont été emmenés de l'autre côté de la frontière polonaise. Soudain, le train s'est arrêté…

Pour continuer la lecture, allez à Notre 1942 at Le mot maintenant.

Print Friendly, PDF & Email
Publié dans De nos contributeurs, Mes Messages, La période de l'Antéchrist, L'avertissement, le sursis, le miracle.