Petite Marie – La Bienheureuse dansera. . .

Jésus à Petite Marie au 11 mars 2024:

« Dieu est le Père d'une création éternelle » (Lectures de messe : Isaïe 65, 17-21, Ps 29, Jn 4, 43-54)

Ma petite Marie, la terre d'Haïti a été envahie par le Diable, une terre qui lui est consacrée. La masse de son peuple vit de ses rituels, qui lui sont offerts avec leur macumba macumba – une forme de magie noire, connue en Haïti, dans les Caraïbes et en Amérique du Sud, notamment au Brésil. Macumba et vaudou sont très similaires. Note du traducteur., et rares sont ceux qui restent justes et innocents, parmi lesquels beaucoup seront protégés par Moi. D’autres seront des martyrs, car seul le sang du martyre redonnera naissance à cette terre, effaçant le pacte avec le malin.

Voici, le Très Saint Père, dans sa première création, avait créé Jérusalem pour la joie, comme le proclame la première lecture, et le peuple pour se réjouir. Il a créé l'homme pour qu'il puisse être heureux dans son jardin terrestre, où il conversait agréablement et parlait avec lui : l'homme ne manquait de rien et vivait dans un bonheur complet, mais il ne voulait pas s'en contenter, il en voulait encore plus, il désirait même être Dieu lui-même, pour prendre sa place, en voulant échapper aux limitations de son existence et de sa nature à travers le péché de désobéissance, qui a ouvert la porte de la mort avec sa douleur et sa souffrance, rompant l'amitié avec le Père céleste.

Dieu, cependant, est Celui qui recrée toujours, offre toujours la renaissance, et Il M’a envoyé, Son Fils ; avec ma rédemption, j'ai fait une nouvelle création, d'autres cieux et une nouvelle terre, la lavant de mon Sang, réparant chaque péché, pardonnant chaque faute, et l'adhésion de l'homme aurait suffi pour recréer le jardin des délices. Pourtant, dans son orgueil, le genre humain n'était toujours pas satisfait de Mon plan de salut, voulant toujours surpasser le Tout-Puissant et se faire Dieu, continuant à transgresser et à déchirer la création renouvelée du Rédempteur avec chaque péché commis, permettant les agonies. de tourments et d'injustices pour frapper toujours l'humanité.

Le Très Saint Souverain est Celui qui ne recule jamais et qui cherche continuellement à rendre toutes choses nouvelles, à donner à chacun la possibilité de choisir l'union avec Dieu, la connaissance de sa consolation dans la joie personnelle de Le rencontrer, en satisfaisant toute faim. Les bras du Père sont toujours ouverts à tous, offrant sa joie, et même si les hommes continuent à pécher, il a déjà préparé, pour ceux qui ont trouvé refuge en lui, sa troisième création, dans la Jérusalem céleste de l'homme ressuscité. Bien qu'ayant enduré la souffrance, ayant connu la douleur de la vie terrestre, à la place de la ville glorieuse, à son entrée, comme le dit le Psaume, « la lamentation se changera en danse ». Tout le passé ne sera plus là ; son souvenir sera oublié car tout sera joie. Il n'y aura ni larmes de tristesse ni morts. Les bienheureux danseront, ressuscités et heureux d'une création qui n'aura plus d'épreuves, mais aura l'éternité.

Comment vous y préparer, comment vous préparer à expérimenter cette joie éternelle, sinon en refaisant la terre de votre âme le jardin de Dieu, sinon en vous libérant du péché ? Mais que peut-on faire pour éviter de pécher ? Avec foi, mes enfants – en ayant foi qu’Il ​​vous aime, vous ne péchez pas, parce que vous ne voulez pas blesser votre bien-aimé et suivez donc Ses instructions. Et comment acquérir une telle foi et un tel amour ? En venant à moi, en me cherchant ardemment.

Rien ne peut naître de toi : tu es comme une structure, un échafaudage que je recouvre et auquel je donne corps. Je vous donne la foi et l'amour : je peux vous en rassasier. Vous avez reçu le libre arbitre pour choisir de venir à Moi et de vous épancher vers Moi.

Ainsi, comme le raconte l'Évangile d'aujourd'hui, les hommes recherchent des prodiges et des signes pour croire, qu'ils recherchent souvent par curiosité ou pour leurs effets miraculeux qui donnent de l'exaltation, mais non pour Me suivre, contrairement à la figure du père dans l'Évangile d'aujourd'hui. , qui est venu à moi dans la simplicité, cherchant seulement ma personne, en disant : « Seigneur, mon fils est en train de mourir, viens », et déjà je réponds : « ton fils vit ». Ma parole lui suffisait. Lui, un païen, croyait en Ma parole et, confiant en elle, était certain du retour à la santé de l'enfant à son retour à la maison. La foi, mes enfants, croit en l'amour de Dieu, et sa réponse à la foi est la santé : tout revient à la vie.

Voici, le glorieux Roi a préparé un somptueux banquet pour vous nourrir, mais les hommes ne viennent pas, restant sous-alimentés. Il a allumé un feu flamboyant pour leur donner de la chaleur, mais ils s'en éloignent et restent gelés. Il invite, ouvrant ses merveilleux jardins à la contemplation de leur beauté, mais les hommes n'y entrent pas et restent paralysés.

Bienheureux sont ceux qui viennent au Seigneur et sont rafraîchis, réchauffés, consolés et réconfortés par Lui ; ceux qui le sont suivront le chemin de sa sainteté pour atteindre le triomphe de la félicité dans sa maison royale.

Je vous bénis